U. Intimité et sexualité


Contenu à venir - en attente de publication manuscrite dans le Journal of Head Trauma Rehabilitation!

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Voici des suggestions d'outils et de ressources qui peuvent être utilisés pour soutenir l’implantation des recommandations de cette section. Les professionnels de la santé doivent en tout temps respecter les dispositions légales et normatives encadrant l’exercice de leur profession, dont notamment les dispositions relatives aux champs de pratique ainsi qu’aux activités réservées ou protégées, puisque celles-ci peuvent différer d’une province à l'autre.

Outils cliniques :

Ressources pour les usagers et les proches :

Contenu à venir - en attente de publication manuscrite dans le Journal of Head Trauma Rehabilitation!

P

Prioritaire

F

Fondamentale

N

Nouvelle Niveaux de Preuve

A

B

C



U.1.1

N

C

Désigner des membres de l’équipe : Les équipes interdisciplinaires devraient identifier quel est le membre de l’équipe qui sera toujours le premier à initier une discussion à propos de l’intimité et de la sexualité. Ce membre de l’équipe devrait recevoir la formation appropriée pour amorcer cette discussion. 

Dernière mise à jour en juin 2023


U.1.2

N

C

Former les membres de l’équipe interdisciplinaire: Tous les membres de l’équipe interdisciplinaire devraient recevoir une formation pour acquérir une compréhension de base des effets potentiels que peut avoir le traumatisme craniocérébral sur l’intimité et la sexualité. On devrait leur fournir des phrases clés à utiliser lors de leurs interactions avec les patients et leurs partenaires.  

Dernière mise à jour en juin 2023


U.1.3

N

C

Initier la conversation: Si la personne et son ou sa partenaire n’initie pas la discussion à propos de la sexualité, le clinicien ou la clinicienne devrait alors demander la permission d’aborder ce sujet en présence du ou de la partenaire, selon le cas, tout en tenant compte des facteurs culturels potentiels. 

Dernière mise à jour en juin 2023


U.1.4

N

C

Personnaliser l’information et les interventions : Chez la personne ayant subi un traumatisme craniocérébral, l’information et les interventions à propos de la sexualité devraient tenir compte de l’identité culturelle, du genre, de l’âge, du sexe, de l’orientation sexuelle et de l’identité de genre. 

Dernière mise à jour en juin 2023


U.1.5

N

C

La documentation écrite : Tôt pendant la phase de réadaptation interne ou externe, on devrait fournir aux personnes et à leurs partenaires de la documentation écrite portant, au moins, sur la sexualité, les relations et l’intimité. On devrait leur fournir aussi l’occasion d’aborder le sujet et de poser des questions lorsqu’elles se sentent prêtes. 

Dernière mise à jour en juin 2023


U.1.6

N

C

Si la personne ayant subi un TCC n’est pas engagée dans une relation amoureuse mais souhaiterait le devenir, lui fournir de la formation pour améliorer ses habiletés afin de favoriser ses chances de succès et assurer sa sécurité. 

Dernière mise à jour en juin 2023


U.1.7

N

C

Lors des suivis avec la personne ayant subi un TCC engagée dans une relation de couple, les cliniciens devraient vérifier s'il y a eu un changement dans l'intimité ou la fonction sexuelle et s'enquérir spécifiquement des changements dans la libido. 

Dernière mise à jour en juin 2023


U.1.8

N

C

Si la personne ayant subi un TCC indique que sa libido a changé, les cliniciens devraient effectuer une investigation médicale complète, y compris une investigation et des tests endocriniens pour écarter les causes médicales de la diminution de libido. Les cliniciens devraient fournir des conseils à propos des autres causes de dysfonction sexuelle. 

Dernière mise à jour en juin 2023


U.1.9

N

C

Si la personne ayant subi un TCC indique que sa libido n’a pas changé mais indique qu’il existe des tensions dans sa relation de couple, on devrait l’orienter vers du counseling individuel et du counseling de couple.  

Dernière mise à jour en juin 2023


U.1.10

N

C

Si la personne ayant subi un TCC et son ou sa partenaire n’indiquent pas de tension de couple ou de changement de libido importants, on devrait envisager de les référer au programme CoupleCARE, s’ils répondent aux critères d’inclusion. 

Dernière mise à jour en juin 2023